Asfiyahi.Org Actualites-de-la-Hadara VIDEO : Gaya, le village natal de de Maodo Malick Sy: une cité laissée en rade qui est dans une situation désastreuse et Alarmante
Actualites-de-la-Hadara

VIDEO : Gaya, le village natal de de Maodo Malick Sy: une cité laissée en rade qui est dans une situation désastreuse et Alarmante

Les Habitants de Gaya ont lancé un véritable cri de coeur à travers ce reportage paru au journal télévisé de la 2STV et repris par Asfiyahi.org . Gaya , village natal de Maodo Malick Sy est un patrimoine culturel, spirituel berceau de la Tidjaniya Malikite qui doit bénéficier de l'appui de tous afin d'amorcer son développement.

Le vénéré Calife Serigne Babacar Sy (RTA) durant son khilafat reçut une missive de la part des habitants de Gaya sollicitant son appui financier pour la construction de la Grande Mosquée du village natal de Seydi El hadj Malick Sy abritant aussi les mausolées de sa mère Mame Fawade Wélé et de son oncle Mame Al Fahim Yoro Wélé (RTA). Aprés analyse de la lettre Cheikhal Khalifah (RTA) consulta son frère et confident ElHdaj Mansour Sy Malick (RTA), ainsi une Grande journée de collecte de fonds pour la Grande Mosquée de Gaya fut organisée à Tivaouane.

En guise d’exemple le Calife et son Frère furent les premiers à contribuer ainsi que de nombreux fidèles et commerçants de Tivaouane. Cet argent contribua de fort belle manière a la construction de cette grande maison de Dieu.

A la fin de la cérémonie, un grand commerçant demanda la parole au saint-Homme dans le but de lancer un appel à l’assemblée afin de les exhorter à apporter leurs contributions aux travaux de la maison du premier Khalife de Seydi El hadj Malick Sy dont les chantiers étaient en cours de réalisations.

Serigne Babacar Sy (RTA) repris aussitôt la parole pour répondre en ces termes :

« DEENGKOU GNOUMA SENI POCHE, SEENE KHOL LAGNOUMA DEENGK »

« ON NE NOUS A PAS CONFIÉ VOS POCHES, MAIS VOS COEURS »

De même dit le khalife: « je n’engage jamais un projet sans avoir au préalable le triple du budget sur fond propre en main »

Cette parabole si riche en enseignement, est un rappel aux droits et devoirs de nos guides qui doivent repêcher nos âmes en errance des méandres du paganisme triomphant et faire de nous des modèles de croyants exemplaires selon le Coran et La Sunnah.

Ainsi nos droits et devoirs seront pour nous de réhabiliter ces patrimoines historiques (Gaya, Ndiarndé, Diaksaw, Ndombo Allarba (pour ne citer que ceux là), afin de laisser aux générations à venir des valeurs et repères surs, comme l’a si bien rappelé l’infatigable Porte Parole de la Sainte famille de Tivaouane, Serigne Abdoul Aziz Al Amin lors du dernier Gamou 2012.

Quitter la version mobile