Elle a souligné également qu’elle voulait rendre hommage au réalisateur du premier film, Mustapha al-Akkad, d’origine syrienne, qui avait trouvé la mort dans l’un de trois attentats commis dans des hôtels d’Amman en novembre 2005.
La productrice exécutive du film, Hajja Subhia Abu Alheja, a expliqué dans le communiqué que "l’image de l’islam" avait "énormément souffert depuis le 11-Septembre et qu’il (était) temps, plus que jamais, de jeter les ponts entre les musulmans et les non-musulmans".
Le texte ne précise pas la date de début du tournage ni le lieu, mais il rappelle que, comme dans le "Message", le Prophète Muhammed (paix et bénédictions sur lui) ne sera pas montré, l’islam interdisant sa représentation.