A ces journées ont été ajoutées une journée de consultation gratuite le Samedi 02 Juillet matin à la place de l’obélisque et le soir une cérémonie de démonstration sur quelques pratiques de l’Islam à s’avoir comment laver, enseveliser un défunt et comment nouer un mariage.
Les éditions passées ont permis de nous imprégner de :
– l’exception de la personnalité de CHEIKH AHMAD TIDJANI, (sultânoul awliya)
– son cursus intellectuel, religieux et spirituel (mine roûhihî istimdâdou koulil awliya)
– la singularité de sa voie d’éducation (tariqatou choukri wal fikr wal fadli wa ridâ)
– les fondements coraniques de son soufisme (mou açaçatoune bil kitâbi was sounna)
– le sens de l’allégeance (moubâya’) par laquelle elle fonctionne, sa philosophie, ses oraisons (azkâr) ses chartes et l’éthique (adab) qui conditionnent la pratique de son Wird.
-la responsabilité de la jeunesse musulmane plus particulièrement la jeunesse Tidjane face aux nouveaux courants religieux et face aux défis sociale, économique et politique.
La tijaniyya, que nous rappelait Serigne cheikh Ahmed Tidjane SY Al Maqtum, est philosophie et chapelet, qui, ces derniers, sont patrimoine et héritage de sa jeunesse. Toutefois il appartient à cette jeunesse de savoir, suivant les exigences de l’espace et du temps, lequel des deux mettre prioritairement en pratique.
La philosophie est celle de la tarbiyatou bil himmaty wal hâl, une éducation spirituelle (recommandée à CHEIKH AHMAD par LE PROPHETE) fondée sur le dessein, distincte de la tarbiya bil istilâhiy (éducation conventionnelle basée sur la mortification et abandonnée par les saints depuis l’an 1421 J-C /824 de l’hégire, à causes de ses difficultés pratiques et psychologiques ; et de la tazbiya basée sur la superstition avec ses pièges.
Cette tarbiyatou bil himmaty dont le but essentiel est de purifier l’âme, « est une mise en pratique, de manière stricte, de l’enseignement du coran et de la sounna ». Elle participe à la socialisation de l’individu et dure toute la vie.
Elle respecte les quatre postulats ou problématiques pédagogiques de l’éducation à savoir :
-l’éducabilité (elle est destinée à toutes personnes qui en respectent les chartes) ;
– la disponibilité pour ne pas dire la liberté (elle tient intègre la singularité intrinsèque de chaque personne) ;
-la formalisation (elle nécessite une formation, un savoir de base progressif, exhaustif et complémentaire)
-la finalisation (son enseignement, sa philosophie et ses oraisons ont un sens et sont intelligibles)
En somme, une éducation spirituelle qui apprend à ses adeptes « à parfaire leurs qualités morales, à éduquer spirituellement leurs âmes en utilisant la science tant exotérique qu’ésotérique, dans leurs différents états à savoir :richesse, pauvreté, santé, maladie, à demeure, en voyage, pendant les moments où l’on côtoie difficulté, aisance, joie, tristesse etc.…, parmi ces états qui peuvent se renouveler indéfiniment, et à se comporter, à chacun de leurs états, selon l’enseignement des principes de la loi (Charia) ou de la Foi ( tariqa) et selon ce qu’il croit être conforme à leur tempérament ( hâl) et plus propice à préserver leur santé mentale et corporelle, sans excès ni carence (ni plus ni moins) »
Autant de thème dont le Guide nous a gratifié tout au long de ces années, et dont l’impact explique tout l’engouement, l’adhésion et l’affiliation des jeunes de la Hadara, hommes et femmes, qui pratiquent aujourd’hui le Wird pour l’avoir compris et approprié.
En somme, le mois de juillet nous offre encore cette année , devant SERIGNE ABDOU et SERIGNE MBAYE SY ABDOU et leurs frères, l’occasion, non seulement de réexaminer le type d’humanité et la valeur culturelle que renferment la Tijanyya pour y rechercher les possibilités de nous accomplir ,de diriger et de façonner les dynamiques de la vie collective; mais aussi de clamer en chœur :
« Innâ banî nahchaly lâ nadda’î li abine anehou walâ houwa bil abnâ’i yachourounâ » ; et d’agir en guise de reconnaissance.
bCellule culturelle du Congres
Suivez les actualités du congrès sur [www.congrestidjaniya.org événements émanent de l’intention, de l’engagement et de la vision d’un homme qui a consacré toute sa vie à la Hadra Tidjane : El H. Ngalla PAYE (ra). Ce dernier en collaboration avec Souleymane Billy Paye et Mame Ousmane Samb actuel président national de COSKAS a pu former des jeunes conscients de leur appartenance à la Hadarat Malikiyya et de leur responsabilité de créer les conditions d’affirmation, d’épanouissement et d’accomplissement de la jeunesse tijane par la mobilisation, l’allégeance à la Tijanyya selon l’orientation et l’enseignement de l’école de Tivaouane ; ces évènements donc ont achevé d’être des moments forts de communication avec le Guide Mawlaya Abdou Aziz SY Al Amine porte-parole de la famille de CHEIKH SEYDIL HADJI MALICK lors d’une grande conférence nationale qui regroupe des milliers et des milliers de fidèles venant de Dakar et des régions le dimanche 03 juillet et avec Serigne Mbaye SY Abdou le vendredi 01 juillet lors d’un grand khadratoul Djouma qui regroupent plus de 10000 personnes venant de Dakar et de certaines régions, sur ce que tout adepte tijany se doit de connaître, de comprendre, de maitriser et de s’employer à faire quotidiennement pour entretenir et vivifier la flamme de l’héritage, surtout pour la frange la plus vulnérable, la plus exposée à la déviance, la tentation et aux agressions de tous ordres : la jeunesse de l’Islam plus particulièrement la jeunesse Tidjane.
A ces journées ont été ajoutées une journée de consultation gratuite le Samedi 02 Juillet matin à la place de l’obélisque et le soir une cérémonie de démonstration sur quelques pratiques de l’Islam à s’avoir comment laver, enseveliser un défunt et comment nouer un mariage.
Les éditions passées ont permis de nous imprégner de :
– l’exception de la personnalité de CHEIKH AHMAD TIDJANI, (sultânoul awliya)
– son cursus intellectuel, religieux et spirituel (mine roûhihî istimdâdou koulil awliya)
– la singularité de sa voie d’éducation (tariqatou choukri wal fikr wal fadli wa ridâ)
– les fondements coraniques de son soufisme (mou açaçatoune bil kitâbi was sounna)
– le sens de l’allégeance (moubâya’) par laquelle elle fonctionne, sa philosophie, ses oraisons (azkâr) ses chartes et l’éthique (adab) qui conditionnent la pratique de son Wird.
-la responsabilité de la jeunesse musulmane plus particulièrement la jeunesse Tidjane face aux nouveaux courants religieux et face aux défis sociale, économique et politique.
La tijaniyya, que nous rappelait Serigne cheikh Ahmed Tidjane SY Al Maqtum, est philosophie et chapelet, qui, ces derniers, sont patrimoine et héritage de sa jeunesse. Toutefois il appartient à cette jeunesse de savoir, suivant les exigences de l’espace et du temps, lequel des deux mettre prioritairement en pratique.
La philosophie est celle de la tarbiyatou bil himmaty wal hâl, une éducation spirituelle (recommandée à CHEIKH AHMAD par LE PROPHETE) fondée sur le dessein, distincte de la tarbiya bil istilâhiy (éducation conventionnelle basée sur la mortification et abandonnée par les saints depuis l’an 1421 J-C /824 de l’hégire, à causes de ses difficultés pratiques et psychologiques ; et de la tazbiya basée sur la superstition avec ses pièges.
Cette tarbiyatou bil himmaty dont le but essentiel est de purifier l’âme, « est une mise en pratique, de manière stricte, de l’enseignement du coran et de la sounna ». Elle participe à la socialisation de l’individu et dure toute la vie.
Elle respecte les quatre postulats ou problématiques pédagogiques de l’éducation à savoir :
-l’éducabilité (elle est destinée à toutes personnes qui en respectent les chartes) ;
– la disponibilité pour ne pas dire la liberté (elle tient intègre la singularité intrinsèque de chaque personne) ;
-la formalisation (elle nécessite une formation, un savoir de base progressif, exhaustif et complémentaire)
-la finalisation (son enseignement, sa philosophie et ses oraisons ont un sens et sont intelligibles)
En somme, une éducation spirituelle qui apprend à ses adeptes « à parfaire leurs qualités morales, à éduquer spirituellement leurs âmes en utilisant la science tant exotérique qu’ésotérique, dans leurs différents états à savoir :richesse, pauvreté, santé, maladie, à demeure, en voyage, pendant les moments où l’on côtoie difficulté, aisance, joie, tristesse etc.…, parmi ces états qui peuvent se renouveler indéfiniment, et à se comporter, à chacun de leurs états, selon l’enseignement des principes de la loi (Charia) ou de la Foi ( tariqa) et selon ce qu’il croit être conforme à leur tempérament ( hâl) et plus propice à préserver leur santé mentale et corporelle, sans excès ni carence (ni plus ni moins) »
Autant de thème dont le Guide nous a gratifié tout au long de ces années, et dont l’impact explique tout l’engouement, l’adhésion et l’affiliation des jeunes de la Hadara, hommes et femmes, qui pratiquent aujourd’hui le Wird pour l’avoir compris et approprié.
En somme, le mois de juillet nous offre encore cette année , devant SERIGNE ABDOU et SERIGNE MBAYE SY ABDOU et leurs frères, l’occasion, non seulement de réexaminer le type d’humanité et la valeur culturelle que renferment la Tijanyya pour y rechercher les possibilités de nous accomplir ,de diriger et de façonner les dynamiques de la vie collective; mais aussi de clamer en chœur :
« Innâ banî nahchaly lâ nadda’î li abine anehou walâ houwa bil abnâ’i yachourounâ » ; et d’agir en guise de reconnaissance.
Cellule culturelle du Congres
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