« Il passe en revue toutes ces théories en essayant de battre en brèche l’idée, selon laquelle, le religieux en général et l’Islam en particulier serait un facteur marginal dans la marche des sociétés et du monde », précise le texte.
Après des décennies de modernisation économique et sociale, la reprise de vigueur de la religion sous différentes expressions, fit croire à une véritable « revanche de Dieu ».
Ainsi, en voulant étudier cette place diplomatique du Maroc acquise surtout par le biais d’un modèle religieux et de réseaux non institutionnels, l’objectif est, précisément, souligne le document, de se pencher plus sur l’impact du religieux, de l’usage qui en est fait, que sur une sociologie religieuse en soi.
Pour le Dr Samb, le religieux demeure une donnée fondamentale de ces sociétés et influe, encore, sur les autres dimensions de la vie sociale.
Dans ce cas, argue-t-il, « il ne s’agit ni d’une sécularisation des rapports sociaux encore moins d’un renouveau du religieux. Le sentiment religieux y est intact et peut, sous différentes formes, se manifester sur les autres activités et dimensions de la vie sociale ».
Source : Le Soleil Via PiccMi.Com
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