Il ne s’agit point d’encadrer un usage ou de consolider un rite. Une famille reconnaissante à son défunt membre prie Allah le Tout Puissant pour que El hadji Bassirou Diagne Maréme Diop, le regretté Grand Serigne de Dakar, Chef supérieur de la Collectivité Léboue, repose en paix dans sa dernière demeure.
El hadji Bassirou Diagne, rappelé à Dieu le 25 mars 2013, avait mis sa personne au service de la communauté humaine, s’était investi pour la promotion de la solidarité active. Son existence et son patrimoine étaient une offre permanente pour le triomphe de la paix, de la concorde et de l’amitié entre les peuples du monde.
Son existence, faite de générosité et de convivialité, lui aura permis, dans cet univers fait de chocs inutiles et de violences insensées, de réussir une médiation entreprenante chaque fois que la conflictualité venait perturber l’équilibre social national dont la sauvegarde constitue, effectivement, une condition nécessaire au développement économique et social du Sénégal.
En somme, ce 25 mars 2014 rappelle aux populations du Sénégal la redoutable habileté de cette défunte autorité, qui a toujours rejeté l’arrogance pour la préférer à l’esthétique et à l’urbanité. D’autant qu’il conseillait de ne jamais soigner le mal par le mal ; la spirale du désordre l’a toujours laissé de marbre.
Peut-être que sa fascinante détermination aidera la Collectivité Léboue à produire, maintenant, des acteurs de terrain comme El hadji Bassirou Diagne qui constitue, pour le Sénégal, un symbole permanent.
Commémorer le premier anniversaire de la disparition d’El hadji Bassirou Diagne Maréme Diop, en ce mardi 25 mars 2014, devrait nous conduire à ne plus blesser la mémoire de la Collectivité Léboue, à mutualiser les capacités de la communauté, pour relever les défis majeurs, pour un Sénégal utile qui recommande la cohésion et écarte de nos pratiques quotidiennes, la concurrence par la destruction.
Enfin, la grammaire de la coexistence et de la communion, enseignée par le défunt, mérite, encore et toujours, consolidation et renforcement, si la Collectivité Léboue entend prendre part, avec succès, à la lutte menée pour le développement du Sénégal et l’essor social des Lébous et des autres communautés soeurs.
El hadji Bassirou Diagne Maréme Diop, le regretté Grand Serigne de Dakar, reste, sans contexte, un ensemble de qualités humaines à l’écoute permanente des populations. Un véritable acteur de terrain.
Que la terre-mémoire du Sénégal perpétue l’empreinte de son noble parcours.
El hadji Bassirou Diagne, rappelé à Dieu le 25 mars 2013, avait mis sa personne au service de la communauté humaine, s’était investi pour la promotion de la solidarité active. Son existence et son patrimoine étaient une offre permanente pour le triomphe de la paix, de la concorde et de l’amitié entre les peuples du monde.
Son existence, faite de générosité et de convivialité, lui aura permis, dans cet univers fait de chocs inutiles et de violences insensées, de réussir une médiation entreprenante chaque fois que la conflictualité venait perturber l’équilibre social national dont la sauvegarde constitue, effectivement, une condition nécessaire au développement économique et social du Sénégal.
En somme, ce 25 mars 2014 rappelle aux populations du Sénégal la redoutable habileté de cette défunte autorité, qui a toujours rejeté l’arrogance pour la préférer à l’esthétique et à l’urbanité. D’autant qu’il conseillait de ne jamais soigner le mal par le mal ; la spirale du désordre l’a toujours laissé de marbre.
Peut-être que sa fascinante détermination aidera la Collectivité Léboue à produire, maintenant, des acteurs de terrain comme El hadji Bassirou Diagne qui constitue, pour le Sénégal, un symbole permanent.
Commémorer le premier anniversaire de la disparition d’El hadji Bassirou Diagne Maréme Diop, en ce mardi 25 mars 2014, devrait nous conduire à ne plus blesser la mémoire de la Collectivité Léboue, à mutualiser les capacités de la communauté, pour relever les défis majeurs, pour un Sénégal utile qui recommande la cohésion et écarte de nos pratiques quotidiennes, la concurrence par la destruction.
Enfin, la grammaire de la coexistence et de la communion, enseignée par le défunt, mérite, encore et toujours, consolidation et renforcement, si la Collectivité Léboue entend prendre part, avec succès, à la lutte menée pour le développement du Sénégal et l’essor social des Lébous et des autres communautés soeurs.
El hadji Bassirou Diagne Maréme Diop, le regretté Grand Serigne de Dakar, reste, sans contexte, un ensemble de qualités humaines à l’écoute permanente des populations. Un véritable acteur de terrain.
Que la terre-mémoire du Sénégal perpétue l’empreinte de son noble parcours.
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