Né le 16 Juin 1916 à Louga, Serigne Moustapha SY Djamil est le fils aîné de Serigne Babacar SY et de Sokhna Oumou Khaïry Sall. Il est aussi le petit-fils aîné de Maodo. Ainsi va-t-il faire la fierté immense de ses ascendants.
Son véritable nom est Mouhamadou Moustapha SY, mais dès son bas âge, « Dabakh » l’avait surnommé « Jamil » (le beau en arabe), son oncle paternel a voulu mettre en exergue également son élégance morale.
Il a été une référence et un modèle d’obéissance.
L’on raconte que lors de son baptême, son doigt a accroché le chapelet de Cheikh Seydi El Hadji Malick SY (RTA). Ce dernier s’est penché vers son grand-père Mame Malick SALL pour lui dire: « il ne veut pas lâcher mon chapelet ». Mame Malick Sall sourit et lui répond: « donnez lui ce qu’il réclame, Maodo Malick ! »
Son père Cheikhal Khalifa Ababacar SY dira de lui : « Moustapha est le domaine réservé de Dieu; nous en avons seulement la garde ».
Installé à Dakar notamment à Fass, sur ordre de son père Serigne Babacar Sy, Cheikh Moustapha Sy dégage une marque de discrétion extraordinaire dans sa démarche, il fera de rares sorties durant sa vie. La plus frappante fut en effet celle très médiatisée du 9 novembre 1958 à Dakar, un an après le rappel à Dieu de son père Babacar. Ce discours tenu devant des milliers de fidèles sonne comme un rappel aux troupes et sera essentiellement axé sur les obligations et droits du Musulman, les fondements de la Tarikha Tidiane, le rôle des dahiras, etc.
Sa formation spirituelle faite auprès de son père El Hadji Mansour Sy Malick lui confère une force mystérieuse insaisissable. Ainsi donc Djamil restera jusqu’à son décès en 1993 un domaine caché dont seuls les quelques reflets nous servent de guide dans notre vécu actuel et notre vie future.
Son véritable nom est Mouhamadou Moustapha SY, mais dès son bas âge, « Dabakh » l’avait surnommé « Jamil » (le beau en arabe), son oncle paternel a voulu mettre en exergue également son élégance morale.
Il a été une référence et un modèle d’obéissance.
L’on raconte que lors de son baptême, son doigt a accroché le chapelet de Cheikh Seydi El Hadji Malick SY (RTA). Ce dernier s’est penché vers son grand-père Mame Malick SALL pour lui dire: « il ne veut pas lâcher mon chapelet ». Mame Malick Sall sourit et lui répond: « donnez lui ce qu’il réclame, Maodo Malick ! »
Son père Cheikhal Khalifa Ababacar SY dira de lui : « Moustapha est le domaine réservé de Dieu; nous en avons seulement la garde ».
Installé à Dakar notamment à Fass, sur ordre de son père Serigne Babacar Sy, Cheikh Moustapha Sy dégage une marque de discrétion extraordinaire dans sa démarche, il fera de rares sorties durant sa vie. La plus frappante fut en effet celle très médiatisée du 9 novembre 1958 à Dakar, un an après le rappel à Dieu de son père Babacar. Ce discours tenu devant des milliers de fidèles sonne comme un rappel aux troupes et sera essentiellement axé sur les obligations et droits du Musulman, les fondements de la Tarikha Tidiane, le rôle des dahiras, etc.
Sa formation spirituelle faite auprès de son père El Hadji Mansour Sy Malick lui confère une force mystérieuse insaisissable. Ainsi donc Djamil restera jusqu’à son décès en 1993 un domaine caché dont seuls les quelques reflets nous servent de guide dans notre vécu actuel et notre vie future.
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